Moncef Mzabi

Les différents types d’e-commerces

Le commerce électronique actuel se concentre principalement sur l’optimisation du taux de conversion afin de stimuler les ventes et d’accroître les revenus et profits potentiels. L’ouverture d’une boutique en ligne représente ainsi une nouvelle source de revenus, tant pour les entreprises émergentes que pour celles déjà établies. Face à la diversité des types de commerce électronique et de transactions disponibles, il faut comprendre ces alternatives afin de choisir la plus adaptée à son activité, facilitant ainsi le développement du site et la sélection d’un CMS e-commerce approprié.

Le e-commerce Business to Business (B2B)

Dans le type B2B, les entreprises proposent des biens et des services exclusivement destinés à un usage professionnel, tels que l’amélioration de la productivité, la gestion des besoins opérationnels ou le soutien aux processus de production. Il n’est pas rare que les acheteurs acquièrent des articles en gros dans le but de les revendre. Ces dernières années, le commerce électronique a largement favorisé l’expansion de l’industrie B2B, les entreprises adoptant de plus en plus les plateformes numériques pour interagir avec leurs clients et partenaires.

Les Marketplace comme Amazon et Alibaba ont joué un rôle clé dans cette croissance, tandis que de nombreuses entreprises de ce secteur développement également leurs propres sites et applications pour faciliter les transactions. Néanmoins, le cycle de vente dans le B2B a tendance à être plus long, souvent entre quatre et sept mois, car les entreprises prennent généralement davantage de temps pour évaluer l’intérêt d’un achat, en particulier lorsqu’il s’agit d’acquisitions critiques pour leurs opérations.

Le e-commerce entre entreprises et consommateurs (B2C)

Ce modèle reproduit l’expérience ou d’un achat en magasin physique, mais entièrement réalisé sur Internet. Les entreprises y proposent directement leurs produits aux consommateurs via leur site web, faisant du réseau en ligne un véritable marché. La boutique en ligne joue ainsi le rôle de passerelle entre les vendeurs et les acheteurs. Grâce à ces plateformes, les commerçants peuvent afficher une vaste gamme d’articles, offrant aux clients une multitude de choix au cours de leur processus d’achat. Cette diversité permet aux utilisateurs d’explorer différentes options et de sélectionner le produit idéal. Parmi les secteurs qui prospèrent dans ce modèle B2C, on retrouve notamment l’habillement, l’électronique et les équipements de plein air. Par ailleurs, la transaction ne se limite pas aux biens matériels : divers services, tels que le conseil financier, le tutorat ou les abonnements, sont également accessibles de cette manière, renforçant ainsi la visibilité des entreprises sur le web.

Le e-commerce de consommateur à entreprise (C2B)

Le modèle C2B inverse le schéma traditionnel en permettant aux entreprises de recevoir de la valeur des consommateurs. Ces derniers peuvent offrir des services via des systèmes d’enchères inversées, agissant ainsi comme entrepreneurs. Ils soumissionnement sur des projets, contribuant à l’expansion des activités d’une entreprise. Ce mécanisme, basé sur la tarification proposée par le consommateur, permet aux entreprises d’atteindre des segments de marché inexplorés.

Des idées de business rentables en Tunisie

Trouver des idées de projet prospère est aujourd’hui un défi, d’autant plus que les banques en Tunisie se montrent souvent hésitantes à soutenir certains projets. Pourtant, divers concepts ont émergé à l’international et démontré leur succès. Leur croissance continue en témoigne. Ces projets novateurs et solidement établis illustrent qu’une simple illustrent qu’une simple inspiration peut parfois transformer une vie.

Les boutiques de mode mobiles

Ces commerces ambulants, dédiés à la vente et à la promotion de marques de prêt-à-porter, s’inspirent du modèle des food trucks. Très populaires aux Etats-Unis et en France, ces fashion trucks connaissent en essor considérable. Le concept s’étend à d’autres services, tels que le nail truck, spécialisé dans les manucures, ou encore « Hair we go », un réseau de coiffeurs itinérants franchisés. Certaines structures combinent même plusieurs prestations.

Ces professionnels opèrent à bord de véhicules aménagés, bénéficiant de soutien administratif et de conseil en communication. Les boutiques de mode mobiles proposent des articles souvent absents des magasins classiques, notamment des marques artisanales, tout en offrant une solution de proximité.

Organiser d’obsèques

Lors d’une période de deuil, il est courant que certaines familles éprouvent des difficultés à organiser les obsèques dans un laps de temps restreint, rendant la situation encore plus éprouvante. Face à ces défis, des professionnels du secteur funéraire interviennent en offrant des services permettant de mieux anticiper et préparer cette période difficile. Ces experts mettent en place des dispositifs qui permettent aux familles non seulement de planifier les funérailles à l’avance, mais aussi de lever des fonds auprès de leurs proches et amis, facilitant ainsi la gestion financière de cet évènement. Grâce à ces collectes, l’entourage du défunt peut apporter un soutien financier précieux, réduisant ainsi le fardeau pour la famille endeuillé. En cas de besoin, cette dernière peut couvrir le solde restant, garantissant ainsi que les funérailles se déroulent de manière sereine, sans que les contraintes financières n’ajoutent à la douleur du moment.

Lancer un projet de Dropshipping

Certaines boutiques en ligne fonctionnent sans nécessiter la gestion de stocks ni la prise en charge des expéditions. Ce modèle, appelé Dropshipping, repose sur tiers qui se charge de fabriquer, stocker et expédier les produits directement aux clients, vous laissant ainsi libre de vous concentrer sur les aspects marketing et le service client.

Votre fournisseurs eut être situé à l’intérieur du pays ou à l’étranger, mais l’essentiel est de sélectionner un prestataire fiable afin d’assurer un service irréprochable. Une analyse minutieuse de ses compétences et de sa réputation est primordiale pour éviter des problèmes logistiques ou de qualité, qui pourraient nuire à la satisfaction de vos clients et compromettre l’image de votre entreprise.

Le e-commerce en Tunisie affiche une croissance solide malgré les obstacles

Le commerce en ligne connaît une véritable expansion en Tunisie. La crise sanitaire a profondément modifié les habitudes d’achat, obligeant les consommateurs à se tourner vers les plateformes digitales face à la fermeture des commerces physiques. De nombreux sites e-commerce proposent désormais une large sélection de produits issus de grandes marques internationales.

Le dynamisme de secteur e-commerce

Le e-commerce en Tunisie a réalisé des performances notables. Le chiffre d’affaires a atteint 538,8 millions de dinars entre juin 2022 et juin 2023, enregistrant une croissance de 41,6% par rapport à l’année précédente. Parallèlement, le nombre de sites de vente en ligne a augmenté de manière significative, progressant de 15% par an, avec un passage de 1 158 en 2015 à 2 452 en 2020.

Cette évolution reflète une tendance mondiale, où le marché du commerce en ligne est estimé à 3,64 billions de dollars en 2023. Une croissance annuelle moyenne de 11,17% est attendue entre 2023 et 2027, démontrant le dynamisme continu de ce secteur à l’échelle internationale.

Les obstacles de ce secteur

Le secteur du e-commerce en Tunisie, bien qu’en pleine expansion, doit surmonter plusieurs obstacles significatifs, particulièrement en ce qui concerne le cadre réglementaire. Le Code des changes, en vigueur depuis 1976, impose des restrictions strictes, stipulant que toutes les transactions effectuées en devises étrangères doivent obtenir une autorisation préalable de la Banque centrale. Cette exigence crée des obstacles pour les consommateurs souhaitant acheter sur des sites internationaux, limitant ainsi l’accès à une vaste gamme de produits et de services.

Par ailleurs, la majorité des plateformes de vente en ligne en Tunisie privilégient le paiement à la livraison. Cette méthode est principalement due à la non-convertibilité du dinar, rendant difficile l’adoption de solutions de paiement en ligne plus modernes. De ce fait, seuls les clients disposant de comptes en dinars convertibles ou de la « Carte technologie internationale » peuvent réaliser des transactions sur internet. Cette situation entrave l’intégration du marché tunisien dans l’écosystème mondiale du commerce électronique et limite la croissance de la confiance des consommateurs dans les achats en ligne.

Selon le rapport annuel 2020 de la Cnuced, la Tunisie se classe 77e au niveau mondial en matière de commerce électronique, et se positionne en 3e position en Afrique et en 9e dans le monde arabe. Bien que ces classements témoignent d’un potentiel prometteur, ils mettent également en lumière la nécessité d’une évolution réglementaire et d’une modernisation des infrastructures de paiement pour renforcer la compétitivité du secteur.

La différence entre les investissements directs à l’étranger (IDE) et les investissements de portefeuille

L’investissement constitue un levier fondamental pour bâtir un patrimoine et représente une stratégie prisée tant par les individus que par les entreprises pour garantir leur stabilité financière. Toutefois, il convient de distinguer les diverses formes d’investissement afin de faire des choix judicieux. Les placements directs et ceux en portefeuille figurent parmi les options les plus courantes, chacun comportant des atouts et des limites. Cette analyse mettra en lumière l’importance de bien appréhender des deux types d’investissements et expliquera pourquoi il est essentiel de maîtriser leurs distinctions.

Les investissements directs étrangers

Les investissements directs étrangers (IDE) se produisent lorsqu’une entreprise, une multinationale ou un individu d’un pays place des capitaux dans les actifs d’un autre pays ou acquiert une part de ses sociétés. Ce type d’investissement se concrétise généralement par l’achat d’une participation dans une entreprise existante à l’étranger ou par l’établissement d’une filiale pour étendre les opérations d’une société déjà présente dans ce pays.

Les IDE se déclinent en deux principales catégories ; les investissements nouveaux et les fusions-acquisitions. Les investissements entièrement nouveaux consistent à créer une entreprise ou à établir des infrastructures à l’international, une approche souvent privilégiée par les entreprises cherchant à exercer un contrôle maximal sur leurs activités à l’étranger. Quant aux fusions et acquisitions, elles impliquent le transfert de la propriété d’actifs déjà existants à un investisseur étranger. Une fusion entraîne l’unification de deux entreprises en une seule entité, tandis qu’une acquisition se traduit par l’achat d’une société par une autre.

Les investissements de portefeuille étrangers

Les investissements de portefeuille étrangers, également désignés sous le terme d’ »investissement non directs », se produisent lorsque des entreprises, des institutions financières ou des particuliers acquièrent des actions cotées en bourse sans chercher à obtenir un contrôle sur la société émettrice. Ces placements sont généralement de court terme et visent à tirer parti des fluctuations favorables des devises ou à réaliser des gains rapides grâce aux écarts de taux d’intérêt. Ils permettent aux investisseurs de diversifier leurs actifs tout en optimisant la gestion des risques.

De plus les investissements non directs peuvent renforcer les marchés financiers locaux en améliorant ainsi une allocation plus efficace des capitaux et de ressources au sein de l’économie. Dans le contexte des économies émergentes, ces flux de capitaux étrangers peuvent joue un rôle majeur dans leur développement, générant des richesses très importantes.

Les erreurs à éviter quand on se lance en tant qu’entrepreneur

S’engager dans l’entrepreneuriat nécessite d’accepter les risques et de valoriser chaque expérience comme une source d’apprentissage. L’échec, loin d’être une finalité, doit être envisagé comme une occasion de progresser. Une attitude positive et déterminée est cruciale pour convertir les erreurs en leviers de succès futurs. En observant les écueils rencontrés par d’autres entrepreneurs, vous pouvez mieux anticiper les obstacles et affiner vos stratégies, ce qui vous permet de vous adapter plus efficacement à la complexité et à l’évolution constante de cet univers.

Le mauvais choix d’associé

Le fait de choisir un associé inadapté peut sérieusement mettre en péril la réussite de votre entreprise. Même si l’idée de se lancer seul peut sembler intimidante, s’associer à quelqu’un n’offre aucune garantie de succès si cette personne ne partage pas vos valeurs et objectifs. Il faut donc sélectionner votre partenaire avec soin, car des divergences sur la vision ou les ambitions risquent de freiner le développement de l’entreprise. De même, un manque de clarté sur la réparation des responsabilités ou des bénéfices peut entraîner des conflits majeurs. Les différences de styles de gestion représentent un autre facteur de risque, car elles peuvent compliquer la communication et altérer la dynamique de travail. Apprendre à bien connaître son associé et discuter des risques en amont est fondamental pour prévenir ces écueils. Dans ce processus délicat, il peut être utile de consulter un avocat ou un conseiller en gestion pour éviter des erreurs coûteuses.

Une gestion financière déséquilibrée ; dépenser trop ou pas assez

La croissance d’une entreprise nécessite un budget et implique des risques. Créer une société exige une prise de conscience quant à l’investissement financier requis. Savoir dépenser au bon moment est important. Selon une enquête PayFit, 22% des entrepreneurs admettent avoir mal géré leur trésorerie. Une dépense raisonnée n’est pas une perte, à condition de rester dans les limites financières. Beaucoup échouent en raison de frais superflus. Pour éviter cela, il est essentiel de surveiller ses dépenses ou de recourir à un comptable, afin de mieux identifier les domaines où l’on investit excessivement.

Ne pas penser à la communication

La qualité de votre communication est déterminante pour le succès de votre projet entrepreneurial. Qu’il s’agisse d’échanger avec des investisseurs, des clients ou d’autres parties prenantes, cet aspect doit être soigneusement pris en considération. De multiples outils sont à votre disposition, tels qu’un site web, un blog, les plateformes sociales, ainsi que votre entourage et réseau professionnel. Les initiatives marketing clés incluent la conception d’un site internet, l’exploitation des réseaux sociaux et le recours à la publicité payante. Exploitez ces leviers efficacement. Si ce domaine n’est pas votre fort, des experts en communication peuvent vous accompagner dans cette démarche.

Vouloir tout faire tout seul 

Lorsqu’on crée une entreprise, il est tentant de vouloir tout contrôler pour limiter les risques et réduire les coûts. Toutefois, il est crucial de reconnaître que réussir seul est irréaliste et qu’il faut s’entourer de personnes compétentes. Nul ne peut être expert en tout, et acquérir des compétences dans certains domaines demandera un investissement en temps et en argent. En délégant certaines tâches à des collaborateurs ou en recourant à des solutions externes, vous gagnerez en efficacité tout en améliorant la qualité de vos résultats.

Des conseils pour réussir dans les affaires

Créer sa propre entreprise est à la fois une aventure passionnante et un défi de taille. Que vous aspiriez à lancer une start-up révolutionnaire, à ouvrir un établissement de restauration ou à développer un business en ligne, il faut avoir une vision claire et de vous préparer avec rigueur. Découvrez dès aujourd’hui les principaux conseils pour concrétiser votre projet et maximiser vos perspectives de réussite.

Maintenez toujours votre cap stratégique

Avant de vous engager dans un projet, il est essentiel de définir clairement ce que vous souhaitez accomplir. Une ambition affirmée, combinée à un objectif précis, vous permettra de tracer le chemin le plus direct vers sa réalisation. Plus votre vision pour l’entreprise est vaste, plus elle constitue au atout majeur. Ce conseil est fondamental pour réussir, car seules les perspectives à long terme vous propulseront loin dans votre démarche entrepreneuriale. Une vision élargie vous permettra de réajuster vos priorités si des obstacles surviennent lors du processus de création. Considérez-la comme une véritable boussole : elle vous guidera à chaque étape et orientera votre entreprise dans la bonne direction. En faisant de votre mission le socle de votre stratégie, vous poserez les bases solides du succès.

Développer un produit remarquable

Dans un environnement en constante évolution, le succès d’une marque ou d’un produit ne se limite pas à sa nouveauté passagère. Il est essentiel d’identifier ce qui la différencie profondément des autres. L’innovation ne doit pas s’arrêter à la première idée, mais s’inscrire dans une démarche de renouvellement permanant. Un produit ou service doit combler un besoin réel pour capter l’attention du marché. Explorez les besoins non satisfaits ou partiellement comblés. Adoptez une approche généraliste pour toucher un large public, ou spécialisez-vous en répondant aux attentes d’une niche spécifique.

Adoptez une approche souple pour votre stratégie commerciale

Un conseil clé pour réussir en affaires est de réaliser une analyse SWOT dès le départ. Cet outil permet d’évaluer la flexibilité de votre plan et d’analyser l’environnement interne et externe de l’entreprise. En examinant les tendances passées, vous pouvez anticiper les évolutions futures et ajuster votre stratégie. Suivez régulièrement vos indicateurs de performances pour rester compétitif. De plus, explorez les nouveaux canaux marketing, comme les réseaux sociaux, qui jouent un rôle important dans la croissance des entreprises.

Valorisez les idées de vos collaborateurs

L’entreprise est une équipe où chaque membre compte. Considérez vos collaborateurs comme un atout majeur. Bien que vous avez une vision claire, il serait imprudent de la suivre sans consulter l’équipe, car d’autres peuvent avoir des idées meilleures. Ecoutez-les, valorisez leur travail et assurez leur bien-être, cela renforcera leur engagement. Un environnement positif favorise la productivité et la créativité, avec des retombées durables pour l’entreprise. Evitez la critique publique et donnez une seconde chance en cas d’erreur. Si un employé ne se sent pas à sa place, explorez de nouvelles opportunités avant de tirer des conclusions hâtives.

L’impact économique du changement climatique

Le réchauffement climatique,  représente aujourd’hui non seulement l’une des menaces les plus importantes pour l’environnement et la biodiversité , mais entraîne également de lourdes conséquences sur le plan social et économique. On sait en effet avec de plus en plus de certitudes qu’il a été causé principalement, du moins pour les 50 dernières années, par les activités humaines, notamment les activités industrielles entraînant des émissions de gaz à effet de serre et de CO2 dans l’atmosphère.

Plusieurs  secteurs touchés économiquement par le réchauffement climatique comme l’agriculture, la gestion de l’eau, la demande en énergie, la biodiversité et la santé…

1-L’agriculture :

L’agriculture est le secteur le plus touché par le réchauffement climatique, en particulier dans les pays en développement où elle occupe une place importante dans l’économie nationale. Aux latitudes plus basses, particulièrement dans les régions à saison sèche et les régions tropicales, le rendement agricole devrait diminuer même si les augmentations de la température locale sont faibles (1-2°C), entraînant ainsi un risque accru de famine. D’un point de vue général, on anticipe une augmentation du nombre de personnes exposées à la famine.

Changements climatiques

2- La gestion de l’eau :

Le réchauffement climatique et les modifications des précipitations pourraient entraîner des difficultés accrues d’alimentation en eau dans de nombreuses régions. En Afrique, 75 à 250 millions de personnes devraient souffrir d’ici 2030 d’un stress hydrique accentué par les changements climatiques. En Asie, les quantités d’eau douce disponibles devraient diminuer d’ici les années 2050, en particulier dans les grands bassins fluviaux. La pénurie que connaîtront certaines régions arides et semi-arides entraînera des migrations importantes, de l’ordre de 24 à 700 millions de personnes.

eau et changement climatique

3- la demande en énergie :

S’agissant de la demande d’énergie, le réchauffement climatique aura des conséquences positives pour les pays les plus nordiques comme le Canada et la Russie car la réduction des dépenses pour le chauffage compensera largement leur augmentation pour une climatisation accrue. Dans les pays plus au sud, comme les Etats-Unis, une légère augmentation de température de 1 à 2°C entraînera un léger bénéfice qui pourrait devenir rapidement négatif à mesure que la dépense en climatisation s’accroît. Pour les pays tropicaux, les désavantages sont encore plus grands puisque des dépenses supplémentaires seront nécessaires pour la climatisation. D’un point de vue général, des mesures d’adaptation seront nécessaires pour renforcer les réseaux aériens de transport et de distribution, renforcer l’efficacité énergétique, promouvoir le développement de sources d’énergie renouvelable et réduire la dépendance à l’égard d’une seule source d’énergie.

4- le tourisme :

Il est probable que le réchauffement climatique affectera l’offre et la demande touristique internationale et locale étant donné que l’activité touristique est largement liée à la nature du climat.

 

Le e-commerce

Le commerce électronique est simplement le processus d’achat et de vente de produits par des moyens électroniques tels que les applications mobiles et Internet. Le commerce électronique désigne à la fois les achats au détail et en ligne ainsi que les transactions électroniques. Le commerce électronique a énormément gagné en popularité au cours des dernières décennies et remplace en quelque sorte la tradition.

e commerce

La vente en ligne offre aujourd’hui de nombreux avantages pour les professionnels, comme pour les professions indépendantes qui souhaitent développer au mieux leur offre de produits et de services.

Pour les entreprises, le but du commerce électronique est d’optimiser les processus de vente afin de pouvoir générer plus de chiffre d’affaires. On cherche ainsi à rendre toutes les opérations liées à la vente plus efficaces et à réduire les coûts associés. Les entreprises ont gagné de nouveaux canaux de vente via Internet par le biais de boutiques en ligne, de places de marché (par exemple Amazon) ou de plateformes d’enchères (comme eBay). Grâce aux médias sociaux, aux annonces publicitaires sur le Net, aux newsletters et aux systèmes CRM automatisés, les commerçants peuvent gagner de nouveaux clients et améliorer leurs relations avec eux en relativement peu d’efforts.

Dans le domaine du commerce en ligne, il est important que tous les canaux soient parfaitement coordonnés. Les technologies électroniques utilisées doivent être intégrées au mieux dans la chaîne de valeur, c’est-à-dire de la logistique à la commercialisation tout en passant par le service à la clientèle. Par exemple, un produit annoncé sur le site Web comme disponible doit bel est bien se trouver dans l’entrepôt pour pouvoir respecter les délais annoncés.

Et comme le site notre grand entrepreneur Mr Moncef Mzabi « Votre page Facebook n’est pas le centre de votre univers. Votre application mobile n’est pas le centre de votre univers. Le client est le centre de votre univers».

L’économie tunisienne

Depuis 1976 l’économie tunisienne est en crise, toute croissance est factice et se solde par un échec puisque la ligne directrice n’a été jamais la création de la  richesse ou l’encouragement du capital national. Les différents systèmes politiques en place ont toujours cherché la solution de facilité à savoir l’emprunt, l’encouragement des multinationales qui n’ont qu’un seul objectif à savoir gagner le maximum et dénaturé l’originalité du pays à tous les niveaux ( agricole, source minière, tourisme…)

économie tunisienne

Aujourd’hui  la situation économique de la Tunisie est difficile. Ebranlée par le changement politique, l’effondrement libyen comme par la menace sécuritaire, cette situation est aujourd’hui critique. En renversant notre dictateur, nous avions espéré sans doute des lendemains meilleurs, mais aujourd’hui, le pays déchante. Entre le chômage, les difficultés économiques, les déséquilibres régionaux et mouvements sociaux …

Tirer les leçons du passé et entreprendre une évaluation objective des politiques du passé sont également crucial pour avancer, tant pour le pays que pour la communauté internationale de développement. La transition reste encore fragile.

Tunis

Et pour sortir de cette impasse le gouvernement doit mettre  en place un plan d’action  pour sauver la mise et de mettre en lumière ses différentes propositions pour une relance de l’économie. Et comme le dit notre grand homme d’affaire Mr Moncef Mzabi « Il vaut mieux arriver en retard et louper son train, que d’arriver en avance et prendre le mauvais ».

3 démarches à suivre pour réussir sa nouvelle entreprise

Pour gérer votre entreprise efficacement, vous devez prendre beaucoup de décisions au quotidien sur comment et où vous devez dépenser vos différentes ressources.

1- Rédiger un business plan :

Le business plan est un véritable acte de foi du créateur d’entreprise, il doit démontrer la solidité de son initiative en exposant les différentes informations de manière très structurée. Un business plan est le document de travail de base de tout créateur ou repreneur d’entreprise. Le business plan doit être établi avec beaucoup de sérieux compte tenu des nombreux objectifs auxquels il répond.Un point très important consiste à structurer votre business plan correctement, ce qui permet d’avoir une démarche cohérente dans son établissement et d’aborder tous les points essentiels du projet. Donc un business plan bien structuré est donc primordial.

business-plan

2- Développer son business grâce à Internet :

De nos jours, le monde entier tourne autour des réseaux sociaux et si vous êtes capable d’utiliser tout son potentiels peuvent immédiatement vous aider à augmenter vos ventes et la réputation de votre marque avec un minimum de ressources et d’efforts. Deux ou trois pages web avec quelques textes comportant les principaux mots clés permettront d’occuper le terrain virtuel, en attendant de développer un peu plus avant un site web digne de ce nom. Ces recommandations sont aussi valables pour le nom d’enseigne de l’entreprise. Cela dit, il ne faut pas trop tarder à bâtir un site web parfaitement orienté sur la marque à promouvoir.

web

3- bien gérer vos ressources humaines :

Difficile de gérer une entreprise. Il est nécessaire de porter une attention particulière au recrutement et à l’encadrement du personnel au quotidien. L’humain est le coeur de l’entreprise, il la compose, l’anime et la fédère. Mais ce facteur qui est au départ un énorme avantage peut vite devenir un inconvénient s’il est mal géré. C’est une tâche complexe et difficile. Les ressources humaines sont un facteur déterminant pour le bon développement, la rentabilité et la stabilité de l’entreprise.Et comme le dit notre fameux homme d’affaire Mr Moncef Mzabi , « Il est facile de recruter mille soldats, mais il est difficile de trouver un général ».

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